Description du projet
Textes de Karl Valentin
Interprétation : Bénédicte Lafond, François Patissier et Dominique Chevaucher (ou Dominique Prunier)
Création 2009 / Scène nationale Parvis de Tarbes-Collection d’hiver
Aventure burlesque et absurde autour d’une invitation à aller au théâtre qui bouleverse le quotidien d’un couple !
SPECTACLE DISPONIBLE
Magicien du verbe et de l’humour, Karl Valentin démonte le langage dans une écriture unique, originale et pleine : pleine de mots, de mouvements, d’absurdités, de drôlerie, de ruptures de tons, de jeux de mots…Une première partie, comme un prologue plonge le spectateur dans l’univers absurde de Karl Valentin avec des impros chantées et un texte sur le théâtre. Avec la seconde partie, nous suivons les péripéties d’un couple qui se prépare à aller au théâtre. On pourrait résumer cette pièce en une phrase : un événement apparemment anodin surgit de façon banale dans la vie ordinaire d’un couple également ordinaire mais se transforme en une aventure extra-ordinaire.
Ce soir là, Fanny rentre chez elle heureuse ! La concierge lui a fait un cadeau : « Deux billets de théâtre pour Faust ! » Le mari ne veut pas y aller. Puis se résigne. Il faut donc se préparer. Mais «avant, on mange» puisque c’est l’heure de la soupe trop chaude et de la choucroute quotidienne ! Il faut en plus prévenir le «gamin» ! Et bien sûr … S’habiller !
Lumières : Dominique Prunier, Jacques Bessias
« Les formidables Bénédicte Lafond et François Patissier se querellent, s’affrontent, s’impatientent dans le rouge de leur cuisine avec une drôlerie qui transforme en exquise satire l’exposition au grand jour des petite mesquineries conjugales.»
« Le tableau offert par ces petits bourgeois se brouille, le vernis craque. Ils sont horribles. C’est vraiment burlesque il y a du Keaton, du Charlot ; l’humour surgit d’une situation, d’un mot que la très bonne traduction a su préserver. »
« La pièce dérape dans la folie, l’absurde et la drôlerie de répliques cinglantes. »
Galerie
« Les formidables Bénédicte Lafond et François Patissier se querellent, s’affrontent, s’impatientent dans le rouge de leur cuisine avec une drôlerie qui transforme en exquise satire l’exposition au grand jour des petite mesquineries conjugales.»
« Le tableau offert par ces petits bourgeois se brouille, le vernis craque. Ils sont horribles. C’est vraiment burlesque il y a du Keaton, du Charlot ; l’humour surgit d’une situation, d’un mot que la très bonne traduction a su préserver. »
« La pièce dérape dans la folie, l’absurde et la drôlerie de répliques cinglantes. »