Henriette, Sarah, Marie et les autres

Elles nous avaient émus l’an dernier avec leurs « Mémoires de poilus » : Bénédicte Lafond et Dominique Chevaucher, de la compagnie évianaise de l’Une à l’Autre, revient aujourd’hui avec leur toute dernière création : « Henriette, Marie, Sarah et les autres… – Paroles de Femmes pendant la guerre 1914-1918 ». Toujours tiré de documents authentiques, le spectacle présente des « femmes debout », des portraits de femmes qui émeuvent, célèbres ou anonymes, et au milieu de toutes, Henriette, 19 n’as qui, dans son village occupé, s’est confiée à son journal.

Lina VERON - Le Messager
Henriette Sarah Marie et les autres
15 décembre 2016

Dauphiné Libéré – 29 janvier 2016

Les extraits du journal d’Henriette Moisson, accompagnés de récits tout aussi émouvants d’autres remarquables femmes, rendus vivant par les deux comédiennes, ont apporté un éclairage inestimable et unique sur la vie des civils de l’Aisne placés sous l’occupation allemande.

Claude BOUZIN - Le Dauphiné Libéré
Henriette Sarah Marie et les autres
29 janvier 2016

Dauphiné Libéré 7 décembre 2015

Un magnifique hommage pour ces femmes qui ont pourtant bien été oubliées après la guerre.

Emilie TOUZALIN - Le Dauphiné Libéré
Henriette Sarah Marie et les autres
7 décembre 2015

Le Dauphiné Libéré, 16 janvier 2014

Magistralement interprétée… chaque mot claque comme un coup de fouet… Lumières et images subtilement distillées… Ce texte puissant qui monte en crescendo, est intensifi é par la lumière, la musique et l’image. Ces éléments réunis, parfaitement coordonnés donnent une dimension scénographique originale et nouvelle… Les spectateurs ont longuement applaudi les deux comédiennes pour l’excellente qualité de la représentation.
Claude BOUZIN - Le Dauphiné Libéré
Avec un grand F
15 janvier 2014

Le Dauphiné Libéré -15 octobre 2012

Les différentes situations de la condition féminine, du début du siècle dernier à nos jours, de la femme au foyer à la femme au travail, avec les rencontres amoureuses décevantes et la dictature de l’apparence, exprimées avec brio et humour, ont enthousiasmé les spectacteurs qui ont applaudi longuement les deux comédiennes.
Claude BOUZIN - Le Dauphiné Libéré / Evian 74
Au fond c'est pas si grave
15 octobre 2012

Radio Plus Yvon Chaloyard – 14 octobre 2012

Elles incarnent la femme dans toute sa splendeur et ses dérives elles égratignent l’homme en remettant le bling-bling à l’heure juste ce qu’il faut à la trotteuse. Elles sont coquines avec un propos naturel et bien dosé pour les rendre sensuelles! Elles chantent, dansent, virevoltent et déclament avec talent et subtilité.
Elles sont deux superbes comédiennes qui se fondent en une, et déclenchent les rires à jet continu. Elles utilisent le langage d’époque avec intelligence et discernement et pour en faire de même je dirai spontanément : Elles sont géniales!! «Au fond, c’est pas si grave»
Yvon CHALOYARD - Radio Plus - Thonon-les-Bains 74
Au fond c'est pas si grave
14 octobre 2012

Sud Saintonge

« Les formidables Bénédicte Lafond et François Patissier se querellent, s’affrontent, s’impatientent dans le rouge de leur cuisine avec une drôlerie qui transforme en exquise satire l’exposition au grand jour des petite mesquineries conjugales.»
Sud Saintonge
Quand est-ce que ça commence?
1 décembre 2009

La Nouvelle République des Pyrénées -2009

« Le tableau offert par ces petits bourgeois se brouille, le vernis craque. Ils sont horribles. C’est vraiment burlesque il y a du Keaton, du Charlot ; l’humour surgit d’une situation, d’un mot que la très bonne traduction a su préserver. »
La Nouvelle République des Pyrénées
Quand est-ce que ça commence?
23 novembre 2009

La République – 2009

« La pièce dérape dans la folie, l’absurde et la drôlerie de répliques cinglantes. »
La République
Quand est-ce que ça commence?
19 novembre 2009

Paris MATCH du 21 au 27 juin 2007

Dur, dur d’être des pépées
Dominique Chevaucher et Bénédicte Lafond, deux comédiennes explosives ont imaginé un spectacle très physique autour de la difficulté d’être femme… les saynètes senchaînent au rythme soutenu d’une BD à la Brétécher
Hélène KUTTNER - Paris MATCH
Au fond c'est pas si grave
21 juin 2007

Le Parisien du 4 juin 2007

Désopilante femme libérée
«Au fond, c’est pas si grave» ouvre la boîte de Pandore des maux divers et variés de la femme libérée et c’est hilarant! Grâce au remarquable talent des deux comédiennes, notamment. Inspirée par un univers à la Claire Brétécher, la pièce comique construite sur un florilège de textes saignants signés Xavier durringer, fait du bien là où ça fait mal d’habitude. Avec force, borborygmes et mimiques complices, trois accessoires et un sens du raccourci extraordinaire, Dominique Chevaucher et Bénédicte lafond croquent en une succession de petites saynètes désopilantes le portrait de leurs contemporaines… elles claquent énergiquement les stéréotypes. Libératoire.
Marie-Emmanuelle GALFRE - Le Parisien
Au fond c'est pas si grave
4 juin 2007

Le figaroscope semaine du 30 mai au 5 juin 2007

La soirée parle avec esprit et humour de solitude, de difficultés d’être mais aussi de tous les bonheurs d’être femme. C’est plaisant, pas de doute. Les textes ne sont pas sots et les comédiennes sont éminemment sympathiques.
Et c’est un tel bonheur de jouer !
Jean Luc JEENER - Le Figaroscope
Au fond c'est pas si grave
30 mai 2007

20 minutes – 21 mai 07

Dominique Chevaucher et Bénédicte Lafond relatent les maux de la femme moderne sous l’emprise des magazines féminins. Le sujet est certes rebattu, mais pour une fois, c’est réussi.
20 minutes
Au fond c'est pas si grave
21 mai 2007

Jasmin du 2 avril 2007

Difficile de croire que cest un homme, Xavier Durringer, qui a écrit ces portraits de femmes au bord de la crise de nerfs. On se retrouve toutes en elles !
Garance DESMARET - Jasmin
Au fond c'est pas si grave
2 avril 2007

TATOUVU.mag du 27 mars 2007

Comédiennes en mouvement pour femmes en quête d’identité, une comédie qui balance pas mal !
Caroline FABRE - TATOUVU.mag
Au fond c'est pas si grave
27 mars 2007

Le Pariscope du 14 au 20 fevrier 2007

Rien nest rose dans la vie d’une fille!
Et si vous aviez encore quelque doute, Dominique Chevaucher et Bénédicte Lafond se font un point d’honneur à vous prouver la véracité du propos. Mêlant leurs propres mots à ceux de Xavier Durringer, les deux comédiennes déploient une folle énergie pour passer en revue tous les petits tracas qui empoisonnent le quotidien féminin (…) Ca remonte le moral (un peu), ça ôte le stress (beaucoup) et ça fait rire (à la folie). Et c’est précisément l’ambiance que lon retrouve sur scène, les deux comédiennes, sans jamais se prendre au sérieux, prêtent leurs voix à toutes les femmes et s’amusent à mettre des mots sur ces fameux maux. Pas de temps mort, les saynètes s’enchaînent, les répliques fusent et les portraits se multiplient. La complicité étant au rendez-vous, c’est à un véritable match de ping-pong verbal qu’on assiste, chacune pouvant finir la phrase de l’autre sans jamais trébucher. La gestuelle, qui emprunte joyeusement les codes de la bande dessinée, finit de nourrir le comique de situation.
Dimitri DENORME - Le Pariscope
Au fond c'est pas si grave
14 février 2007

Vaucluse Matin & Dauphiné Libéré – 20 juillet 2006/Avignon Off

Deux femmes en scène, pour offrir leurs voix à toutes les autresFinement croqués, ces portraits très contemporains font sourire, voire rire, ou grincer des dents, mais ne laissent pas indifférents.
Mireille ROSSI - Vaucluse Matin & Dauphiné Libéré - Avignon Off
Au fond c'est pas si grave
20 juillet 2006

www.Accel-interce.com – 16 juillet 2006

Un spectacle plein d’humour et d’énergie, par deux belles et bonnes comédiennes
Geneviève COULOMB - www.Accel-interce.com - Avignon OFF
Au fond c'est pas si grave
16 juillet 2006

www.egazetteduspectacle.com – 14 juillet 2006

Les deux comédiennes nous font passer du comique hilare au tragique le plus triste…
Une pièce véritablement riche émotionnellement!
Gaëlle VALLET - www.egazetteduspectacle.com - Avignon OFF
Au fond c'est pas si grave
14 juillet 2006

La République des Pyrénées – 12 avril 2006

Pièce délirante (…) Sacré duo déroutant et plein de sarcasmes qui ne manque ni d’humour ni de tendresse. Rythme sans temps morts au gré de mimiques hilarantes.
La République des Pyrénées - Pau 64
Au fond c'est pas si grave
12 avril 2006

La République des Pyrénées – 3 février 2006

Un spectacle de grande qualité particulièrement original, Dominique Chevaucher et Bénédicte Lafond occupent la scène au décor sobre et investissent le public déjà conquis alors même que le spectacle n’est pas encore commencé. L’expression de leur visage est tantôt douce et angélique, soulignée par une voix suave et sensuelle, tantôt grave ou féroce, capable de passer instantanément du rire au larme… Mise en scène exceptionnelle. Une belle performance qui fait oublier le temps, si bien que le voyage dans le monde inédit des femmes s’achève trop vite.
Didier FILIPOWIAK - La République des Pyrénées, Pau 64
Au fond c'est pas si grave
3 février 2006

Sud Ouest / novembre 2005

Deux femmes qui parlent des failles, des doutes, des petits bourrelets et des profondes souffrances avec une constante, l’humour
Sud Ouest
Au fond c'est pas si grave
1 novembre 2005

Theatreonline.com du 27 juin 2005

Interprété par deux comédiennes qui savent ne pas se prendre au sérieux, ce spectacle enlevé nous fait rire du début à la fin!(…) Expressives et volubiles, elles sapproprient les angoisses des femmes avec un bonheur contagieux.
Les deux comédiennes jubilent de rire de tous ces drames, tantôt légères, tantôt graves et capables de passer du rire aux larmes en quelques secondes. () Elles grimacent et gesticulent avec une brillante autodérision. (…)
Les comédiennes croquent les hommes à belles dents, nous offrant des portraits au vitriol, mais sans jamais montrer les crocs. A peine le temps de reprendre sa respiration entre deux éclats de rire que le spectacle est déjà terminé. On na même pas vu le temps passer!
Julie RAMBAL - Theatreonline.com - Festival de la Foire Saint-Germain Paris 6è
Au fond c'est pas si grave
27 juin 2005

La République des Pyrénées – 18 mai 2005

Un spectacle qui parle des femmes avec tendresse, justesse, émotion et dérision Les deux comédiennes ont tissé un pièce touchante parce que très proche dune réalité quotidienne connue ou subie par les femmes.
La République des Pyrénées
Au fond c'est pas si grave
18 mai 2005